Les grimpeurs en salle respirent un air aussi vicié par les particules fines – composées, en l’occurrence, presque exclusivement de magnésie – que les
ouvriers des secteurs industriels touchés par ce fléau.
Tel est le verdict d’une étude effectuée par l’Université technique de Darmstadt. Les auteurs proposent des mesures simples pour réduire cette pollution.
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